J’ai pu conclure, hier soir au Sénat, devant Jean-Michel BLANQUER, le Débat visant à dresser un bilan de la politique éducative française.
J’ai réaffirmé que l’école est le pilier de notre République. Elle qui permet de consolider notre société, de partager des valeurs et de construire l’avenir.
J-intervenais, aujourd’hui au Sénat, lors du Débat sur les menaces que les théories du wokisme font peser sur l’Université, l’enseignement supérieur et les libertés académiques.
Ce rapport dont je suis l’auteur, en tant que Rapporteur spécial au Sénat de la Mission « Enseignement Scolaire », traite de l’aspect budgétaire de notre système scolaire mais également du statut des professeurs qui rejaillit inévitablement sur le résultat des élèves.
Au moment où la presse nationale reprend les questions et les remarques que je présente dans mon rapport spécial sur l’enseignement scolaire (et notamment concernant le statut des professeurs qui rejaillit sur le résultat des élèves), il peut paraitre étonnant que la majorité Sénatoriale ait refusé de voter la première partie du budget. D’autant plus que j’avais fait adopter cette partie du budget, telle que présentée par le Ministre Jean-Michel Blanquer, lors de l’examen en commission des finances.
C’est à la demande du Rapporteur Général, le Sénateur de Moselle Jean-François Husson, et de Bruno Retailleau, Président de notre Groupe politique au Sénat, que la Droite, le Centre et, pour d’autres raisons, les Socialistes ont refusé la première partie du budget.
L’explication est simple : la plupart des 40 milliards de dépenses nouvelles annoncées par le Président Emmanuel Macron, manifestement en campagne, ne sont pas repris dans le texte du projet de budget et/ou ne sont pas expliqués par le Gouvernement.
Le Ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, Bruno Le Maire, n’a pas dû passer plus d’une demie heure en séance alors que le Parlement est le seule habilité à voter l’impôt. Le Gouvernement annonce des mesures avec la certitude que ses godillots de l’Assemblée les voteront sans débat, ce qui n’est naturellement pas le cas des Sénateurs toutes étiquettes politiques confondues.
Nous ne sommes pas élus pour nous taire. Que nous approuvions, que nous contestions ou que nous voulions modifier, le dialogue est le principe et là il n’est plus respecté.
Un « Débat sur l’action du Gouvernement en faveur de la souveraineté énergétique française » a eu lieu le 16 novembre dernier au Sénat.
Dans ce cadre, je viens d’interroger Madame Emmanuelle WARGON, Ministre déléguée chargée du Logement, sur les ambitions du Gouvernement, à l’aube de la Présidence Française du Conseil de l’Union européenne (PFUE), en matière de réforme des capacités du marché Européen de l’énergie et de souveraineté énergétique de la France.
Retrouvez l’intégralité de notre échange dans la vidéo ci-dessous.
Débat sur l’action du Gouvernement en faveur de la souveraineté énergétique française – 16/11/2021 au Sénat
A l’aube de la Présidence française de l’Union Européenne, j’alertais le Gouvernement, cette après-midi au Sénat, sur le fait qu’il est primordial de convaincre nos partenaires que, dans une situation d’extrême urgence où la transition énergétique est un devoir absolu, il faut pousser la priorité à décarboner plutôt qu’à verdir avec des modes qui sont aussi aléatoires qu’intermittents et qui appellent, pour cette raison, à la consommation de gaz.
J’assistais, hier soir, à la séance nocturne du Sénat lors de laquelle nous débâtions sur Projet de loiDifférenciation, décentralisation, déconcentration et simplification.
J’y ai soutenu l’amendement déposé par mon collègue, le Sénateur de la Sarthe Louis-Jean de NICOLAY. Celui-ci propose de permettre aux régions, mieux placées que l’État pour comprendre la situation de leurs habitants, d’augmenter ou de redéfinir la distance minimale entre les éoliennes terrestres et les habitations.
« J’ai toujours soutenu, dans mon département, les éoliennes lorsqu’elles étaient acceptés par l’opinion et j’appartiens à la Région Grand Est qui a une vision globale de l’énergie qui joue à la fois le nucléaire mais qui joue également le renouvelable issu de la biomasse ou le renouvelable issu de l’éolien. »
« Quand on aime la France, on aime l’armée et on lui donne les moyens ! »
J’intervenais ainsi, mercredi 23 juin 2021, dans l’hémicycle du Sénat, au nom de mon groupe parlementaire les Républicains, dans le cadre du débat de la loi de programmation militaire du Gouvernement.
En tant que Rapporteur spécial au Sénat de la Mission « Enseignement Scolaire », j’ai présenté un rapport auprès de la Commission des Finances mercredi 16 juin.Ce rapport met en évidence la perte d’attractivité du métier d’enseignant en mathématiques en France. En effet, cette vocation semble en réelle perte de vitesse sur le territoire national.
En cause ? Des salaires trop faibles (comparés au secteur privé et à ceux des enseignants des autres pays européens) et des méthodes d’enseignement qui peinent à se moderniser.
Les conséquences de ce phénomène sont une baisse du niveau des enseignants et des élèves dans les derniers classements européens.Les recommandations proposées dans ce rapport sont une revalorisation des salaires des enseignants, une formation continue plus effective et la promotion des études de mathématiques.
Retrouvez mon rapport et mes recommandations en cliquant ici.
Lors des traditionnelles Questions au Gouvernement, au Sénat, je viens d’interroger le Premier Ministre Jean Castex sur la réforme de la Haute fonction publique et le rôle des Préfets : « Votre initiative est destructrice d’un des piliers de la République sur le terrain. On ne gère pas l’ordre public comme un exposé de sciences politiques. »